TÉMOIGNAGE DE MARCO

Asportek, dans l’oeil de 3 clients : le premier mois

 

C’est bien beau parler de son entreprise et des bienfaits de l’alimentation, de l’entraînement, des suppléments et des bonnes habitudes de vie, mais rien ne vaut observer tout cela à travers la loupe de véritables clients.

 

Il y a 6 semaines Asportek a demandé à 3 nouveaux clients d’écrire, avec leurs mots et sans filtre, leur expérience de transformation en entraînement semi-privé chez Asportek. Nous leur avons demandé d’écrire comment ils se sentaient sans se préoccuper de l’image que cela projetterait. Pas des athlètes olympiques, pas des malades chroniques. Disons entre les deux. Drôlement besoin d’un changement d’habitudes de vie, mais pas encore dramatique au point que l’ambulance soit à la porte.

 

Et nous avons beaucoup de plaisir à lire ce qu’Asportek leur apporte dans leur quotidien! Nous espérons que cela vous plaira.

 

Marco:

J’ai 34 ans. J’ai dû m’entraîner à peu près 6 heures… dans ma vie complète. Je déteste l’entraînement. Je suis un fan fini de fast-food et j’ai « besoin » de ma petite bière le soir après une dure journée de travail.

Je suis entrepreneur, je travaille beaucoup, je mange sur la route tous les jours, de la bouffe rapide et grasse qui me réconforte. Voici ma réalité des 10 dernières années.

Je me réveille « magané » tous les matins, j’ai pris 25 livres, je commence à avoir une bedaine, et je manque d’énergie à tel point que je dois avoir du café par intraveineuses en plus de faire des mini siestes pour venir à bout de mes journées. Voici mon autre réalité.

Voilà le triste constat que j’ai fait il y a maintenant un mois. J’ai décidé de me prendre en main, mais sachant très bien que j’aime autant aller au gym que de me faire arracher les dents de sagesse à froid avec une vieille paire de pince rouillée. J’ai décidé de m’entourer des bonnes personnes afin de mettre toutes les chances de mon côté.

Ça fait maintenant 1 mois que je vais chez Asportek. Plan alimentaire drastique dans les deux premières semaines : Pas de sucre, pas de glucides, pas d’alcool. Entraînement une seule fois par semaine « On va apprendre à marcher avant de courir » m’a dit JP.

Premier constat : C’est mauditement plus facile qu’on le pense! Pourquoi c’est facile? Parce que tu vois les changements tout de suite. Je ne parle pas nécessairement de perte de poids ici. Je parle d’énergie. Je me sens bien, je suis énergique, bref je pète le feu. De telle façon que le fast-food ne me tente même plus. Premier mois difficile je ne vous le cacherai pas, mais Ô combien motivant.

Retour